Il faudrat cependant attendre octobre 1913 pour voir son apparition en France à Nice.
et construit en France par la SIT ou Thomson.
Par la suite apparu un surprenant cadran.
Dans ce modèle fabriqué spécialement pour la France par Western Electric,
la couronne portant les chiffres et les lettres est solidaire du disque perforé.
A noter que les premiers cadrans ne comportaient pas de lettres. Celles-ci sont apparuent en 1927
à l'automatisation de Paris.
Automatisation qui créa quelques soucis à l'administration des PTT à tel point qu'elle du,
dans l'année qui suivit, envoyer à chaque abonné une notice explicative.
Puis vinrent quelques modèles
conçus pour être équipés d'un cadran
Avec son modèle 1927, l'administration tente et réussit une normalisation.
Son mécanisme restera inchangé pendant près de 50 ans....
Par la suite le disque métal cèdera sa pace au plexiglass.
la couronne émaillée sera remplacée par du plastique
et pour terminer, les lettres disparaitront.
à transmettre des impulsions au central téléphonique et plus précisément à un organe appelé sélecteur.
Exemple: lorsque vous composez le chiffre 7, vous envoyez au central téléphonique un train de 7 impulsions qui se traduit par 7 coupures
calibrées sur la ligne. A l’autre extrémité, le sélecteur, sorte de commutateur rotatif passera de la position zéro à la position sept.
Quelques mots sur ce cadran téléphonique très particulier et bien français.
Comme vous avez pu le remarquer, il comporte un onzieme trou baptisé E
Il était utilisé dans les premiers centraux à système rotatif comme le R6 ou le Strowger afin effectuer ce que l'on appelait: une mise en direct.
A la réception de ce chiffre E, le commutateur avancait de 11 pas, c'est à dire qu'il reprenait la même position, par contre les relais qui lui étaient
associes reprenaient leurs places initiales permettant ainsi de se positionner en tiers sur le numéro choisi et d'effectuer un essai ou une écoute....